Premières expériences et engrenages : Chapitre 19 Le jeu

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 18 Hors de contrôle
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 19 : Le jeu.

Valérie avait enlevé les dernières pinces, que je ne ressentis que lorsqu’elle les toucha. Elle se redressa à côté de son amie. Je ne pouvais que les comparer. Nathalie était brune et Valérie châtain clair presque blonde. Elles avaient la même taille, à peine quelques centimètres de moins que moi. Courbé par le lien à mes poignets, mon regard se trouvait plutôt au niveau de leur poitrine. Nathalie avait des traits plus anguleux, un nez plus allongé, un menton plus linéaire.

Valérie avait des formes plus rondes, de visage, de fesses, de poitrine, de cuisses, tout en courbure. Elle avait attachée ses cheveux longs avec un nœud, comme elle le faisait uniquement lors du sport ou de travaux pratiques. L’activité actuelle devait lui rappelait l’un des deux ou le faisait-elle aussi quand elle faisait l’amour. Je me l’imaginais et de nouveau les barreaux de la cage m’informèrent que ce n’était pas bien de penser cela. Les cheveux en arrière découvraient d’elle un haut faisant ressortir le creux de sa poitrine.

  • Tu ne peux pas regarder une fille dans les yeux, m’accusa Nathalie, en me giflant aussi fort que la première fois. C’est ça que tu veux, dit-elle jalouse, en déboutonnant sa chemise et découvrant son soutien-gorge.

Elle le baissa quelques instants, dévoilant à présents ses seins. Deus petits seins aux formes parfaites et aux courbes de sculpteurs. Elle les approcha si près de moi que je tentai en vain de les baiser.

  • Ladyscar a répondu, mais pas toi. As-tu envie de nous revoir, de me revoir ? As-tu encore envie de souffrir ? me demanda Valérie.

Je détectai une sorte de compétition. Une légère mésentente entre elles, comme si elles possédaient un jouet qu’elles ne voulaient pas partager. La sensuelle Valérie et la sadique Nathalie.

  • Oui j’en ai envie.

Valérie s’avança vers la commode, prit la clé des menottes et me libéra sans demander l’avis des autres. J’enlevai moi-même le plug anal, dernier vestige avec la cage de cette soirée.

  • Nettoie le bien, m’ordonna Ladyscar.

  • Ou, maitresse, répondis-je en regardant pour la première fois l’écran désespérément noir.

Elle y lut ma déception.

  • Tu n’entendras que ma voix ce soir.

  • Et les autres soirs ? la questionnai-je, relançant malgré moi une suite, que je désapprouvais quelques minutes encore, alors que maintenant j’étais détaché.

  • Je crois que tu es prêt pour que nous nous trouvions un accord.

  • Nous en faisons partie ? demanda Nathalie, avide.

  • Oui. Je pense que nous avons besoin d’être plusieurs pour le dresser. Nous partons de tellement loin. Regardez, il ne nous a même pas remerciées.

  • Merci, maitresses, corrigeai-je trop tard. Je ne veux pas être un soumis vingt-quatre heures sur vingt-quatre, juste quelques heures, comme ce moment.

  • Des sessions, me corrigea Ladyscar.

  • Oui, répondis-je en me frottant les poignets endoloris.

J’avais mal partout et j’étais pressé de prendre une douche. J’aurai voulu un bain, mais je devrai attendre ce week-end chez mes parents. Cette première semaine de mes dix-huit ans commençait trop vite pour moi.

  • Quand peut-on les arranger ? demanda Valérie pragmatique.

  • Vous avez des études. Je dirai un week-end sur deux. Qu’en penses-tu ?

J’opinai.

  • Mais tu seras à moi du vendredi soir au dimanche soir. J’organiserai plusieurs sessions durant cette période.

  • Pourquoi si longtemps, quarante-huit heures ? Au bout de deux heures, je suis complétement démoli, lui demandai-je.

  • Tu es jeune. J’ai tellement à te faire découvrir. Toutes les séances ne seront pas aussi sadiques. N’apprécies-tu pas ?

  • Si, bien sûr maitresse, me résignai-je.

  • Et vous, ajouta-t-elle en s’adressant aux étudiantes. Qu’est-ce que vous aimeriez lui faire ?

  • Plus de mal, jusqu’à l’entendre m’implorer d’arrêter. J’aime le voir pleurer, dit Nathalie en me caressant le torse.

  • Plus de bien. Je voudrais qu’il devienne un esclave sexuel, qu’il me donne du plaisir, de toutes les façons possibles, compléta en opposition Nathalie.

L’image du yin et du Yang m’apparut, tandis que je les contemplais.

  • Rapports sexuels, cunnilingus, sodomie, léchage anal… ? demanda Ladyscar.

  • Oui. Tout. Tu as déjà essayé ? me demanda-t-elle.

  • Non.

  • Non pour quoi ?

  • Non, pour tout. Je suis vierge. Je n’ai jamais eu de rapport.

  • Tu as déjà embrassé une fille ? demanda Nathalie.

  • Même pas. Vous êtes les premières à me toucher le corps.

Ma déclaration causa un moment de stupeur. Même Nathalie avec ses dix-huit ans, son côté timide et réservé avoua avoir déjà eu deux petits copains. Valérie ne répondit pas mais depuis la rentrée, je l’avais vu avec au moins trois autres étudiants dont deux en dernière année. Elle avait un an de plus.

  • Donc rendez-vous le week-end en huit. Nous aurons la clé de la cage ? demanda Valérie en caressant mon sexe au travers de celle-ci sans que cela ne la gênât.

Au contraire, ma déclaration semblait l’exciter encore un peu plus. Elle continuait à me caresser et mon sexe se serrait à nouveau dans la cage bien que je ne fusse plus attaché, j’étais soumis, figé, incapable d’arrêter la discussion dont j’étais l’enjeu. Froide devra être la douche.

  • Oui, répondit Ladyscar, après moultes hésitations. Je m’arrangerai pour que vous aillez un double, mais il faudra bien le refermer une fois que vous en aurez fini avec lui.

Elles discutèrent encore une demi-heure sur les règles et leur arrangement de mon partage. Ladyscar comprenait que les deux étudiantes ne recherchaient pas par moi les mêmes plaisirs. Valérie continuait de me caresser le sexe durant toute la discussion, engendrant des souffrances et du plaisir coupable. Finalement, elles me promirent un weekend chargé. Elles continueraient à communiquer ensemble pour mettre au point le planning et les détails.

Elles avaient des idées à partager, mais pas devant moi. Elles voulaient me faire la surprise. Et puis, elles trouvaient que j’étais réticent à essayer de nouvelles pratiques, alors que finalement je ne les regrettais pas après les avoir subies.

  • Sans parler pour les autres et vu ce que je te prépare, je voudrais éviter que tu ne fuisses à l’étranger, si tu l’apprenais à l’avance, me dit Nathalie en me pinçant un téton puis ramassant mon passeport sur la commode dans la corbeille.

Je la laissai faire. La fin de soirée se termina en queue de poisson. Elles se rhabillèrent du peu qu’elles avaient enlevé et dirent aurevoir à Ladyscar qui quitta la connexion. Elles partirent, en me tapant la bise, comme si de rien n’était, me laissant là, nu, frustré, douloureusement épuisé avec ma cage. Je refermai un peu tardivement le double-rideau, observant avec horreur la neige tassée devant chez moi et la dizaine de mégots écrasés, stigmates d’un voyeurisme insoupçonné. J’eus une nouvelle érection contrainte et me précipitai sous une douche salvatrice. Je vidais l’eau chaude de mon ballon pourtant imposant, m’endormant presque dessous et me trainais dans mon lit.

Je repensais à la dernière phrase de Nathalie et souris devant l’exagération de ses dires avant de m’endormir dans mon lit. Si j’avais su !

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 20 Une petite faim
très bon récit...je me languis de lire la suite!!!!
Très angoissant pour lui de ne pas wavoir ce qu'elles lui réservent au juste.
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